Je parcours le monde entier, Pour les belles pierres récoltées. Je joue les aventuriers, Pour ne pas être attaqué.
La chaleur est sans nom, À l'ombre comme dans les maisons. Sur la route, je n'ai qu'une pensée, Trouver un gîte et me reposer.
Éreinté, envie d'une douche, Exténué, envie d'une couche, S'extraire de cette pampa, Où les chemins ne s'arrêtent pas.
Enfin arrivé ! De l'eau fraîche à volonté ! Au puits, au seau remontée, elle est sortie, À la goulée, je me suis désaltéré, À la gourde, je me suis rafraîchi.
Extase de ce nectar si précieux !
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