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Historique de Grands-textes.Hugo
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Hugo, Victor
- [[ Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse
- [[ Liberté !
- [[ Après la bataille
- [[ La blanche Aminte
- [[ Demain, dès l'aube...
- [[ A une femme
- [[ Le manteau impérial
- [[ Elle avait pris ce pli ...
- [[ Nuits de juin
- [[ Lux
- [[ Melancholia
- [[ Ô souvenirs ! printemps ! aurore !
- [[ Veni, vidi, vixi
- [[ Quand nous habitions tous ensemble
- [[ Elle était déchaussée, elle était décoiffée...
- [[ Elle était pâle, et pourtant rose...
- [[ Le soleil était là qui mourait dans l'abîme
- [[ Aux Feuillantines
- [[ J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline
- [[ Jeanne était au pain sec...
- [[ La source
- [[ Clair de lune
- [[ Sur une barricade
- [[ Oceano nox
- [[ Les Djinns
- [[ A un homme partant pour la chasse
- [[ Tous les hommes sont l'Homme ...
- [[ Ce siècle avait deux ans
- [[ Lorsque l'enfant paraît
- [[ Puisque nos heures sont remplies
- [[ Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- [[ Vieille chanson du jeune temps
- [[ Apparition
- [[ Rosa fâchée
- [[ Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- [[ Ultima verba
- [[ Trois ans après
- [[ Booz endormi
- [[ Abîme - La Voie Lactée
- [[ Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- [[ La prisonnière passe...
- [[ Fenêtres ouvertes
- [[ La cicatrice
- [[ Les innocents
- [[ A qui la faute ?
- [[ Jeanne fait son entrée
- [[ Jeanne songeait
- [[ Canaris
- [[ Extase
- [[ Que t'importe, mon coeur
- [[ Rêverie
- [[ Un jour au mont Atlas
- [[ Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- [[ Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée
- [[ Soleils couchants
- [[ Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- [[ Hymne
- [[ Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles
- [[ La pauvre fleur disait au papillon céleste
- [[ Quelle est la fin de tout ?
- [[ Regardez : les enfants se sont assis en rond
- [[ Enthousiasme
- [[ Fonction du poète
- [[ Le pot cassé
- [[ Et Jeanne à Mariette a dit
- [[ Le ravin
- [[ Le poète s'en va dans les champs
- [[ Puisque le juste est dans l'abîme
- [[ A une jeune fille
- [[ Ô soldats de l'an deux ! ...
- [[ Mes deux filles
- [[ La coccinelle
- [[ Viens ! - une flûte invisible
- [[ La sultane favorite
- [[ Printemps
- [[ Ecrit au bas d'un crucifix
- [[ J'aime l'araignée
- [[ La source tombait du rocher
- [[ Dieu fait les questions pour que l'enfant réponde
- [[ Il faut que le poète
- [[ Cri de guerre du mufti
- [[ Un manque
- [[ Guitare
- [[ Autre guitare
- [[ France ! à l'heure où tu te prosternes
- [[ L'art et le peuple
- [[ Chanson de grand-père
- [[ Dante écrit deux vers
- [[ Mais tu brûles !
- [[ La douleur du pacha
- [[ En mai
- [[ Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose
- [[ L'aube est moins claire...
- [[ Je suis enragé. J'aime
- [[ Bon conseil aux amants
- [[ Voici que la saison décline
- [[ Je racontais un conte
- [[ Je t'aime, avec ton oeil candide
- [[ Vivants
- [[ Mes poèmes !
- [[ Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- [[ Ecrit sur la vitre d'une fenêtre flamande
- [[ La fête chez Thérèse
- [[ Paroles sur la dune
- [[ Les paysans au bord de la mer
- [[ Un groupe tout à l'heure était là sur la grève...
- [[ Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites
- [[ Claire
- [[ L'enfant
- [[ Sara la baigneuse
- [[ Attente
- [[ Voeu
- [[ La ville prise
- [[ Adieux de l'hôtesse arabe
- [[ Malédiction
- [[ Chanson de pirates
- [[ La captive
- [[ Souvenir de la nuit du 4
- [[ Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent
- [[ Stella
- [[ Spectacle rassurant
- [[ Je sais bien qu'il est d'usage...
- [[ N'envions rien
- [[ Il fait froid
- [[ Aimons toujours ! Aimons encore !...
- [[ Après l'hiver
- [[ Je respire où tu palpites,
- [[ Crépuscule
- [[ La nichée sous le portail
- [[ Un soir que je regardais le ciel
- [[ La statue
- [[ Explication
- [[ Aux arbres
- [[ Joies du soir
- [[ Lise
- [[ L'enfance
- [[ Le rouet d'Omphale
- [[ Chanson (L'Ame en fleur)
- [[ Hier au soir
- [[ Mon bras pressait ta taille frêle...
- [[ Les femmes sont sur la terre...
- [[ Tristesse d'Olympio
- [[ Pepita
- [[ Le trouble-fête
- [[ Laetitia rerum
- [[ Choses du soir
- [[ Chant sur le berceau
- [[ Chanson pour faire danser en rond les petits enfants
- [[ Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- [[ La conscience
- [[ Prologue
- [[ La chanson de Maglia
- [[ L'expiation
- [[ A Villequier
- [[ Les pauvres gens
- [[ La plume de Satan
- [[ Mugitusque boum
- [[ Jour de fête aux environs de Paris
- [[ Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
- [[ Insondable, immuable, éternel, absolu
- [[ Le hibou
- [[ Le mendiant
- [[ Conclusion
- [[ Promenades dans les rochers (I)
- [[ Promenades dans les rochers (II)
- [[ Promenades dans les rochers (III)
- [[ Promenades dans les rochers (IV)
- [[ Horror
- [[ Ecrit après la visite d'un bagne
- [[ L'échafaud
- [[ Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille
- [[ La hache ? Non. Jamais...
- [[ C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux
- [[ Je suis fait d'ombre et de marbre
- [[ Jolies femmes
- [[ Fulgur
- [[ Deux voix dans le ciel
- [[ Nous
- [[ Chanson d'autrefois
- [[ Près d'Avranches
- [[ En écoutant chanter la princesse ***
- [[ Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
- [[ Nuits d'hiver
- [[ Chanson d'autrefois (autre)
- [[ En marchant le matin
- [[ Sur la falaise
- [[ En marchant la nuit dans un bois
- [[ En hiver la terre pleure
- [[ Exil
- [[ Aux proscrits
- [[ Pasteurs et troupeaux
- [[ Tu me vois bon charmant et doux ...
- [[ Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
- [[ Vers 1820
- [[ Premier mai
- [[ Nous allions au verger cueillir des bigarreaux
- [[ L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours
- [[ La nature
- [[ Magnitudo parvi
- [[ A mademoiselle Louise B.
- [[ Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute
- [[ Ce que c'est que la mort
- [[ Sous les arbres
- [[ Éclaircie
- [[ Ce que dit la bouche d'ombre (I)
- [[ Ce que dit la bouche d'ombre (II)
- [[ Chanson des oiseaux
- [[ Le doigt de la femme
- [[ Depuis six mille ans la guerre
- [[ Pleurs dans la nuit
- [[ La fiancée du timbalier
- [[ La Terre - Hymne
- [[ Le sacre de la femme - Ineffable lever...
- [[ Le sacre de la femme - Ève
- [[ La rose de l'infante
- [[ Abîme - L'Homme
- [[ Dans l'ombre
- [[ Puisqu'ici-bas toute âme
- [[ Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !
- [[ Envoi des feuilles d'automne
- [[ L'aurore s'allume
- [[ Nouvelle chanson sur un vieil air
- [[ Autre chanson
- [[ Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée
- [[ Au bord de la mer
- [[ Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- [[ A mademoiselle Louise B.
- [[ Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
- [[ A Virgile
- [[ Passé
- [[ Dans ce jardin antique où les grandes allées
- [[ Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- [[ Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- [[ L'autre
- [[ Georges et Jeanne
- [[ Je prendrai par la main les deux petits enfants
- [[ Printemps
- [[ La sieste
- [[ Dans le jardin
- [[ Jeanne dort
- [[ Les enfants pauvres
- [[ Aux champs
- [[ Jeanne endormie
- [[ Dans la forêt
- [[ Ronde pour les enfants
- [[ Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- [[ Ce qui n'a pas encore de nom
- [[ Âme ! être, c'est aimer...
- [[ L'univers, c'est un livre...
- [[ Satan pardonné
- [[ Paris bloqué
- [[ A Petite Jeanne
- [[ Du haut de la muraille de Paris
- [[ Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point
- [[ Vision sombre ! un peuple en assassine un autre
- [[ Les forts
- [[ Nos morts
- [[ Lettre à une femme
- [[ Bêtise de la guerre
- [[ Une bombe aux Feuillantines
- [[ La sortie
- [[ Le deuil
- [[ Les siècles sont au peuple...
- [[ Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !
- [[ Une nuit à Bruxelles
- [[ Un jour je vis le sang couler de toutes parts
- [[ Je n'ai pas de palais épiscopal en ville
- [[ Une femme m'a dit ceci : - J'ai pris la fuite
- [[ Les fusillés
- [[ A Vianden
- [[ Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- [[ Ô Charles, je te sens près de moi...
- [[ Paris incendié
- [[ Le couchant flamboyait à travers les bruines
- [[ Je travaille
- [[ Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
- [[ Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre
- [[ J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou.
- [[ Après l'hiver
- [[ Tu rentreras comme Voltaire...
- [[ Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- [[ Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain
- [[ Hermina
- [[ Mai
- [[ Commencement d'une illusion
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1819
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1820
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1826
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1833 - A J...
- [[ Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- [[ N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente
- [[ La Figliola
- [[ Amour secret
- [[ Je suis naïf, toi cruelle
- [[ Garde à jamais dans ta mémoire
- [[ Je pressais ton bras qui tremble
- [[ Au bois
- [[ Suzette et Suzon
- [[ Air de la princesse d'Orange
- [[ Chanson de Gavroche
- [[ Un grand sabre serait d'utilité publique
- [[ Épitaphe de Jean Valjean
- [[ Chanson du bol de punch
- [[ Danger d'aller dans les bois
- [[ Regard jeté dans une mansarde
- [[ A Mlle Fanny de P.
- [[ Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813
- [[ A un poète
- [[ Oh ! quand je dors...
- [[ L'ombre
- [[ Ecrit sur le tombeau
- [[ Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages
- [[ Quand la lune apparaît dans la brume des plaines
- [[ Nuit tombante
- [[ Printemps
- [[ Soir
- [[ Nuit
- [[ Vénus
- [[ D'après Albert Dürer
- [[ Ô Rus
- [[ Où donc est la clarté ? Cieux, où donc est la flamme ?
- [[ L'enfant
- [[ Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée
- [[ Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- [[ Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?
- [[ Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer
- [[ Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !
- [[ C'était la première soirée
- [[ Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- [[ Ô temps ! si l'on pouvait dans ton urne profonde
- [[ Mors
- [[ Le poète dans les révolutions
- [[ Le matin
- [[ Aux morts du 4 décembre
- [[ C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde
- [[ Non
- [[ Le Progrès calme et fort...
- [[ Les martyres
- [[ Au peuple
- [[ Petit Paul
- [[ Lazzara
- [[ Les tronçons du serpent
- [[ Novembre
- [[ Dicté en présence du glacier du Rhône
- [[ Ce qu'on entend sur la montagne
- [[ Où donc est le bonheur ? disais-je.
- [[ Dans l'alcôve sombre
- [[ Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- [[ Vois, cette branche est rude, elle est noire...
- [[ La pente de la rêverie
- [[ Bièvre
- [[ Amis, un dernier mot !
- [[ Le poète bat aux champs
- [[ Quand les guignes furent mangées,
- [[ En sortant du collège
- [[ Je ne me mets pas en peine
- [[ Jeanne chante ; elle se penche
- [[ La nature est pleine d'amour
- [[ La vision de Dante
- [[ Jour de fête
- [[ Fuite en Sologne
- [[ A propos de dona Rosa
- [[ L'oubli
- [[ Saison des semailles. Le soir
- [[ Les enfants lisent, troupe blonde
- [[ La méridienne du lion
- [[ Ecrit en 1827
- [[ Le satyre
- [[ Le cantique de Bethphagé
- [[ Le champ du potier
- [[ Le crucifix
- [[ Satan dans la nuit - I
- [[ Satan dans la nuit - II
- [[ Être aimé
- [[ L'échafaud
- [[ La tombe dit à la rose
- [[ Le crapaud
- [[ Pure innocence ...
- [[ Oh ! je fus comme fou...
- [[ A qui donc sommes-nous ?
- [[ Pendant que le marin...
- [[ On vit, on parle...
- [[ A quoi songeaient les deux cavaliers ...
- [[ Charles Vacquerie
- [[ Les oiseaux
- [[ Le firmament est plein de la vaste clarté
- [[ La vie aux champs
- [[ Le poème éploré se lamente
- [[ A Madame D. G. de G.
- [[ Vere novo
- [[ A propos d'Horace
- [[ A un poète aveugle
- [[ Heureux l'homme occupé ...
- [[ Unité
- [[ Quelques mots à un autre
- [[ Oui, je suis le rêveur ...
- [[ Halte en marchant
- [[
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